Rapport

Rapport de l’UNICEF : « Evitons une décennie perdue – Mesures à prendre de toute urgence pour inverser les effets dévastateurs de la COVID-19 sur les enfants et les jeunes »

Rapport de l’UNICEF : « Evitons une décennie perdue – Mesures à prendre de toute urgence pour inverser les effets dévastateurs de la COVID-19 sur les enfants et les jeunes »

Près de deux ans après le début de la pandémie, les effets généralisés de la COVID-19 continuent de s’aggraver, augmentant la pauvreté et ancrant les inégalités. Si certains pays se relèvent et reconstruisent une « nouvelle normalité », pour beaucoup, en revanche, la COVID-19 constitue toujours une catastrophe. Les droits des enfants du monde entier n’avaient pas été autant menacés depuis plus d’une génération.

Le monde a riposté de manière très inégale et inadaptée et se trouve désormais à la croisée des chemins. Les mesures prises aujourd’hui détermineront le bien-être et les droits des enfants pendant de nombreuses années.

À l’heure où l’UNICEF célèbre ses 75 ans, ce rapport dresse le bilan des effets de la COVID-19 sur les enfants et les jeunes et décrit la feuille de route pour inverser la tendance et riposter en réinventant l’avenir pour chaque enfant.

Télécharger le rapport (disponible en français, anglais, espagnol, arabe)

Publié par Didier dans Actualités
Rapport de l’UNICEF – La situation des enfants dans le monde 2021

Rapport de l’UNICEF – La situation des enfants dans le monde 2021

Dans ma tête – Promouvoir, protéger et prendre en charge la santé mentale des enfants.

L’UNICEF vient de publier un rapport sur la santé mentale des enfants dans le monde. Si la pandémie de COVID-19 a fait naître des préoccupations concernant la santé mentale d’une génération d’enfants, cette crise ne reflète toutefois qu’une infime partie des problématiques rencontrées en matière de santé mentale – la partie émergée d’un iceberg que nous ignorons depuis trop longtemps. Le rapport La Situation des enfants dans le monde 2021 s’intéresse à la santé mentale des enfants, des adolescents et des personnes qui s’occupent d’eux. Il met en évidence les facteurs de risque et de protection intervenant à certaines périodes cruciales de la vie et analyse les déterminants sociaux qui influent sur la santé mentale et le bien-être.

En outre, ce rapport appelle à s’engager, à communiquer et à agir dans le cadre d’une approche holistique visant à promouvoir la santé mentale de chaque enfant, à protéger les enfants vulnérables et à prendre en charge les enfants confrontés aux problèmes les plus graves.

Lien pour un accès interactif aux données du rapport (en anglais seulement).

Parents :

Lien pour savoir comment aborder le sujet de la santé mentale avec votre enfant. Cette rubrique comporte des conseils et des ressources à votre intention.

Jeunes :

Lien pour savoir comment demander de l’aide, obtenir un soutien et lutter contre la stigmatisation liée à la santé mentale.

Publié par Didier dans Actualités
La COVID-19 chez les enfants et le rôle des établissements scolaires dans la transmission – deuxième mise à jour

La COVID-19 chez les enfants et le rôle des établissements scolaires dans la transmission – deuxième mise à jour

L’ECDC a récemment publié le rapport ” COVID-19 chez les enfants et le rôle des écoles dans la transmission – deuxième mise à jour “, qui détaille les dernières connaissances concernant rôle des enfants dans la transmission du SRAS-CoV-2 et du rôle des écoles dans la pandémie de COVID-19.
L’objectif de ce document est de faire le point sur les connaissances entourant le rôle des enfants dans la transmission du SRAS-CoV-2 et le rôle des écoles dans la pandémie de COVID-19, en se centrant en particulier sur l’expérience des pays de l’UE/EEE depuis le début de la pandémie.
Les enfants de tous âges sont sensibles au COVID-19 et peuvent transmettre la maladie. Cependant, les cas de COVID-19 chez les jeunes enfants ne semblent pas entraîner une transmission ultérieure aussi souvent que les cas chez les enfants plus âgés et les adultes. Les enfants âgés de 1 à 18 ans présentent des taux d’hospitalisation et de maladie grave nécessitant des soins hospitaliers intensifs beaucoup plus faibles que les autres groupes d’âge.
Bien que la fermeture des écoles puisse contribuer à une réduction de la transmission du COVID-19 en tant que mesure de dernier recours, les fermetures en elles-mêmes sont insuffisantes pour prévenir la transmission communautaire en l’absence d’autres interventions non pharmaceutiques. En outre, la couverture vaccinale est désormais en augmentation. Compte tenu du risque permanent de transmission chez les enfants non vaccinés, il est impératif que les systèmes éducatifs soient très bien préparés pour l’année scolaire 2021-2022.
D’ici la réouverture des écoles pour la nouvelle année scolaire, les enfants et les adolescents seront devenus les groupes d’âge présentant les taux les plus faibles de couverture vaccinale contre le COVID-19 dans l’Union européenne (UE) et l’Espace économique européen (EEE). Par conséquent, en l’absence d’une stricte adhésion à des mesures d’atténuation efficaces en matière de santé publique, il faut s’attendre à une circulation concentrée du COVID-19, y compris à des épidémies dans ce groupe d’âge.
Pour plus d’informations et pour accéder au rapport complet

Publié par Didier dans Actualités
Vers le plan « 1000 premiers jours » : pour une approche intégrant les enjeux de santé publique, d’intersectorialité et de participation

Vers le plan « 1000 premiers jours » : pour une approche intégrant les enjeux de santé publique, d’intersectorialité et de participation

La Chaire UNESCO ÉducationS & Santé est co-signataire d’un courrier au Ministre des Solidarités et de la Santé et de son Secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles concernant le rapport « 1000 premiers jours » élaboré par une commission d’experts présidée par le neuropédiatre Boris Cyrulnik.

Fruit de la réflexion collective de pédiatres, médecins de PMI et acteurs de santé publique, ce courrier rappelle l’importance de problématiques fondamentales de santé publique (causes de morbimortalité, lutte contre les inégalités sociales de santé, maltraitance, exposition aux toxiques, alimentation…). Il rappelle le rôle central joué par la Protection Maternelle et Infantile et la nécessité de développer ses moyens d’action. Il insiste enfin sur l’importance d’une concertation plus large des professionnels de la petite enfance et de représentants des familles, afin d’enrichir ce rapport des perspectives de la santé publique et de la promotion de la santé, nécessairement intersectorielles.

Lire le courrier et la contribution de la plateforme « Assurer l’avenir de la PMI »

A la suite de ce courrier, une visioconférence a été organisée le mercredi 2 décembre entre les organisations signataires et le Cabinet du Secrétaire d’Etat. Le cabinet a pris note des points soulevés et a invité les signataires à formuler des propositions.

Signataires du courrier : Société Française de Santé Publique, Groupe de Pédiatrie Générale sociale et environnementale (GPGse) de la SFPPre, la Société Française de Pédiatrie (SFP), le Conseil National Professionnel de Pédiatrie (CNPP), la Société Française de Pédiatrie Médico-Légale (SFPML), la Chaire UNESCO « Educations & Santé », la Société Francophone de Santé et Environnement (SFSE), le Syndicat national des médecins de PMI (SNMPMI) et la Collégiale de Pédiatrie d’Ile de France.

Publié par Didier dans Actualités